La Lettre Hebdomdaire (LH) est le journal des étudiants de Télécom. Il existe depuis au moins 1992.
Rédigé et édité chaque semaine (hors vacances), il est disponible en version numérique (historiquement papier et numérique).
Chaque année, une quarantaine de numéros sont édités (sans compter les hors-séries).
Pendant l'année 2020-2021, la LH est passée d'un rédacteur en chef à une équipe de nainAs rédacteurs.
En avril 2023, la lettre a changé de format pour passer à un mode de publication entièrement numérique, hébergé par Rezel.
La LH est également active sur Facebook. Il est possible de retrouver beaucoup de publications sur l'ancien compte Facebook.
Plusieurs personnes sont en charge de la vie du journal. Certains rôles vont et viennent avec les années, mais on retrouve généralement:
Historique des rédacteurs en chef de la LH
Les jeux:
Les jeux :
Traditions :
Certains numéros hors-série sont classiques et reviennent régulièrement. D'autres sont uniques. En voici une liste non exhaustive:
Les différents numéros classés par années sont consultables ici.
La LH a changé de nombreuses fois de design et de logo...
La Lettre Hebdomadaire a été fondée avant 1980, faisant d'elle l'une des activités associatives les plus anciennes de Télécom, encore plus vieille que la JE. À cette époque, elle s'appelait le Coin.
En 1992, ses membres sont appellés LH-Man. Elle a le droit à la 1e place dans la plaquette alpha de l'époque, avant même le BDE.
À compter de la LH 8 du 3 novembre 2003, la LH est publiée sur l'intranet de l'école, EOLE.
La LH a connu des discontinuité dans sa publication, qui a diminué à la fin des années 2010. Sa publication est finalement interrompue en 2021.
Elle refait une apparition le premier avril 2023 sous la forme d'une publication numérique sur un site internet hébergé par Rezel. Depuis, elle paraît chaque semaine sous format numérique. Elle propose aussi une traduction en anglais de la plupart de ses articles.
Le 28 mars 2024, alors que la nouvelle LH s'apprêtait à souffler sa première bougie, elle meurt. Certains télécommiens font part, avec tristesse, de leur stupéfaction quant à cette disparition. Paix à son âme...
Le 1er avril 2024, à la plus grande stupéfaction des télécommiens, la LH renaquit de ses cendres, et inaugura ainsi la première publication du mandat 2024-2025.
Au début de la nouvelle version de la LH, un article publié dans le numéro du 29 mai attire tout particulièrement l'attention des lecteurs. Il s'agit d'un témoigage d'expérience du WEFA 2023, marquant la fin du mandat BDE des "Bedia De Los Muertos", considéré par beaucoup et à juste titre comme le meilleur BDE que Télécom ait connu depuis bien des années, et connaitra dans les années à venir[1].
La particularité de cet article réside dans l'étonnante qualité de sa rédaction. Celui-ci est rempli de figure de styles, de rythmes, de rhymes et de multisyllabes. Mais au delà de la forme déja impressionnante, le fond aussi a su toucher son lectorat, en effet l'auteur a retranscrit avec une grande fidélité dans cet article de les ressentis et l'atmosphère toute particulière de ce week end. Celui-ci marquait la fin de deux ans de vie assocative riche à Télécom Paris, de beaucoup de souvenirs et d'expériences.
Le texte se structure en paragraphes séparés par des points de suspensions. Chaque paragraphe est indépendant des autres, et traite un sujet différent. Une attention est portée au rythme, des paragraphes intenses en émotions cotoient des paragraphes plus légers, avec des transitions volontairement abruptes, comme pour imiter un ascenseur émotionnel. Le ton change, le style aussi entre chaque paragraphe. De manière générale, le ton commence très légerement et s'intensifie en émotion avec le temps, au fur et à mesure que le week-end passe, et que la fin approche.
Durant le récit, un grand nombre de personnalités de la vie assocatives de Télécom seront citées, couvrant un panel large de groupes d'affinités différents. Le texte est chargé en références à la vie associative de la promotion, et en références un peu plus privées à des évènements du week-end, rendant la lecture plus particulière et plus personnelle pour quelqu'un ayant particpé au week-end.
L'accent est porté plus sur les intéractions et les faits sociaux que sur les activités du week-end ou le cadre en lui même, car il ne s'agit pas d'un article de journalisme mais bien l'expession d'un individu qui a pleinement vécu le moment comme quelque chose de fort.
Le texte se finit par un message directement adréssé d'abord à la promotion de l'auteur (promo 2024), puis à la nouvelle génération, imitant la transition et la passation dont ce week-end est le symbole.
C'est la vérité. ↩︎